Investissement post-"non-dom" : les opportunités au Royaume-Uni pour les Français.
Le Royaume-Uni met fin à son régime fiscal avantageux "non-domiciled" à compter d’avril 2025. Ce dispositif, instauré depuis plus d’un siècle, permettait aux expatriés de ne pas être imposés sur leurs revenus étrangers tant qu’ils n’étaient pas rapatriés au Royaume-Uni. Cette suppression marque un tournant majeur pour les investisseurs internationaux et les expatriés installés outre-Manche.
Départ à l'étranger en 2025 : les conséquences fiscales pour les Français
Le régime de l’exit tax reste un enjeu majeur pour les entrepreneurs et investisseurs souhaitant s’installer à l’étranger. Cette taxe vise à limiter l’évasion fiscale en imposant les plus-values latentes sur les titres détenus par les contribuables quittant la France. Ce dispositif, bien que critiqué, continue d’impacter de nombreux expatriés.
Location meublée : ce qui change en 2025 pour les propriétaires et investisseurs
La nouvelle loi sur la location meublée, adoptée en novembre 2024, introduit plusieurs modifications majeures à partir du 1er janvier 2025. Objectif affiché : encadrer un marché en pleine expansion et limiter ses effets sur le logement résidentiel.
Les épargnants adoptent la Bourse comme valeur sûre
L'Autorité des marchés financiers (AMF) a publié son Baromètre annuel de l'épargne et de l'investissement en janvier 2025, révélant des tendances notables chez les épargnants français.
Prévisions des taux d'épargne réglementée en 2025
C'est désormais officiel : à partir du 1er février 2025, le taux du Livret A passera à 2,4 %. Quant au Livret d'Épargne Populaire (LEP), il affichera un rendement de 3,5 %, soit une diminution moins marquée que prévue, alors qu'il aurait pu descendre sous la barre des 3 %.
60 milliards d'économies annuelles grâce à la provision pour les retraites des fonctionnaires
Selon une étude de l’Institut économique Molinari, si l’État avait provisionné les retraites comme certaines institutions (Sénat, Banque de France), il aurait pu économiser jusqu’à 60 milliards d’euros par an.

